A titre d’exemple, la décision d’un témoin de Jehova d’accepter une transfusion sanguine pourrait être considérée comme … Favoriser l’autonomie du patient face aux données additionnelles en médecine génomique G Durand, M Guillet, S Mercier. Mais sa force est aussi une faiblesse : trop simple devant des situations complexes, la … Lors des consultations médicales Le principe d’autonomie Le droit de disposition tel qu’il est contenu implicitement dans la loi dur les droits du patient, laisse au malade la possibilité de disposer de lui-même. L’autonomie relative du patient Le canon bioéthique classique, ce qu’on appelle aussi le « principlisme », est simple, a une clarté conceptuelle et un langage précis et commun. L’autonomie comme authenticité signifie que l’action est conforme aux valeurs que le patient exprime habituellement au cours de sa vie, et qu’elle est en accord avec son projet de vie. Elle reflète la capacité d’autodétermination du patient qui s’exprime dans le consentement libre et éclairé.

Ce droit de disposition relève de ce qu’on appelle aujourd’hui « le principe d’autonomie ». Can J Bioeth / Rev Can Bioeth. La première a trait aux droits des patients, et à la liberté de choix dont le patient jouit, telle qu’elle est exprimée notamment dans la charte du patient hospitalisé.

La seconde notion est la capacité, pour un individu, d’assurer les actes de la vie quotidienne. Résumé : "Depuis ces dernières années, nous assistons à une révolution technologique en génétique moléculaire avec l’avènement du séquençage de nouvelle génération (NGS). En médecine, le terme d’ autonomie désigne deux notions. 2019 ;2(2):135-142.